L’une des plus grosses affaires du Horoya en ce mercato est sans doute l’arrivée dans ses rangs de l’attaquant ivoirien Blaise Kouassi. Une arrivée qui ne reste pas muette aux alentours du club de Matam.
Dans la foulée de la signature de son contrat, l’ancien attaquant du CS Sfaxien s’est livré en exclusivité à FOOT224 et a prononcé ses premières phases entant que joueur du HAC.
Sur ses motivations à rejoindre le champion de Guinée, la qualification en ligue des champions africaine du Hac y est pour grand-chose, « C’est une équipe qui joue la ligue des champions, c’est ce qui m’a motivé de plus. J’ai déjà joué la finale. C’est une compétition qui est très importante et quand vous êtes en phase finale vous voyagez beaucoup. Vous jouez contre des grands clubs, tu croises aussi d’autres joueurs ».
Le championnat guinéen, il avoue ne pas le connaitre assez pour pouvoir en juger le niveau. Il garde quand même en mémoire un passage en Guinée quand il évoluait encore à Sfax. « On m’a parlé un peu du championnat et j’ai joué contre satellite ici en 2007 (ndlr en coupe de la CAF) et j’ai marqué un but. Au match retour j’avais marqué deux buts. C’est un bon championnat, j’ai vu que les joueurs guinéens sont techniques, les défenseurs sont plus agressifs et son costaud. J’ai senti ça le jour là » raconte-t-il.
Le rêve du Horoya, jouer les premiers rôles en Afrique. Une mission loin d’être gagnée d’avance. Pour l’atteindre, l’international ivoirien compte bien y contribuer d’autant plus qu’il se targue d’une expérience continentale encore en mémoire. « C’est difficile mais ce n’est pas impossible. Quand tu rêves, il faut croire au rêve. Moi j’ai foi en moi et j’ai quand même l’expérience de la coupe d’Afrique avec au moins 5 médailles d’Afrique. Etre parmi les quatre meilleurs, c’est bien. Et, si je fais partie je vais être heureux d’être dans cette équipe ».
Corbeau Noir a également eu un mot à l’endroit des supporters du HAC : « Depuis que je suis venu, je bouge un peu dans la ville. Je sens que le Horoya est un club très aimé, il a de bons supporters. Je viens pour aider le Horoya et il faut qu’ils (ndlr supporters) m’aident aussi à aider le Horoya. Il faut qu’ils comprennent qu’avec le football tout peu arriver ».
Thierno Amadou MAKADJI
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